Lomami : Lancement du concours d'admission aux FARDC à Mwene-Ditu

Les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC), à travers la direction provinciale de Lomami, ont organisé un concours d’admission pour les jeunes désireux d’intégrer l’armée congolaise. Ce concours, qui s’est déroulé du samedi 14 au dimanche 15 décembre 2024, a eu lieu à l’Institut Technique Njanja, situé à proximité de la Banque TMB, dans la ville de Mwene-Ditu.

L'événement a rassemblé les autorités locales, dont le maire Gérard Tshibanda Kabue, ainsi que les membres du conseil urbain de sécurité et des responsables militaires venus pour l’occasion. Ce concours de deux jours a permis aux candidats de se mesurer à des épreuves variées telles que la culture générale, le français, les mathématiques, et bien d'autres thèmes prévus.

L’objectif principal de cette initiative est de recruter des jeunes pour qu'ils intègrent l’armée nationale, afin de renforcer ses rangs et d’assurer une formation militaire de qualité.

D’après le communiqué officiel des FARDC, les candidats doivent remplir certaines conditions pour être éligibles et rejoindre l’Enseignement de Formation des Officiers (EFO). Ce recrutement est réparti en trois sessions distinctes :

Session ordinaire :

Être de nationalité congolaise.

Être diplômé d’État, âgé de 18 à 25 ans.

Fournir un dossier comprenant : deux photocopies du diplôme d'État ou équivalent, deux photocopies de la carte d’électeur, deux photos passeport et deux fardes chemises.

Session spéciale :

Être de nationalité congolaise.

Être titulaire d’une licence ou d’un graduat, âgé de 24 à 35 ans.

Être diplômé en médecine, infirmier A1 ou A2, licencié en agronomie, informatique ou tout autre domaine pertinent.

Être gradué dans toutes les facultés confondues.

École des sous-officiers :

Être âgé de 18 à 25 ans.

Avoir le bulletin de la 5ème année.

Ces examens, organisés par l’école militaire de la République Démocratique du Congo, visent à promouvoir et renforcer les capacités de l’armée congolaise, en vue d’une meilleure sécurité nationale.

Jures Mukendi Mukeba, à Mwene-Ditu


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Commentaires (1)

  • se né pas bien d'avoir les militaires souffre.

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